Vous connaissez le langage des oiseaux ? C’est ce qu’inconsciemment notre cerveau entend lorsque nous parlons.
C’est fantastique le pouvoir (et la bêtise) de notre cerveau qui a tant de capacités, mais qui peut aussi tout prendre au pied de la lettre. On sait que l’Homme n’utilise que 10% de ses capacités cérébrales. Et si en fait, il en utilisait plus, mais de façon inconsciente ?
Vous avez sans doute déjà lu que la magie, c’est l’âme qui agit (l’âme agit), ou que merveilleuse, c’est la mère qui veille (mère-veilleuse). Il y a plein de sens cachés dans les mots que nous utilisons tous les jours.
En psychogénéalogie, notamment, on va à la recherche du sens caché des mots et des prénoms.
Par exemple, si je m’appelle Nicole, mon cerveau (ou celui de mes parents) retient « nid-colle ». On a souvent du coup des “Nicole” qui ont été conçues pour rassembler le couple qui pour des raisons diverses peut avoir été séparé.
René évoque la renaissance. Jean, l’anagramme d’ange, vous met sur la piste d’un enfant mort dans votre arbre. Et les “Serge” se demandent-ils tous à quoi ils servent (à quoi sers-je?) ? Toutes ces interprétations sont autant de piste de réflexion sur son projet sens, sur ce que nos parents ont projeté en nous mettant au monde. Tout n’est pas vrai, pas pour tout le monde, mais le langage des oiseaux est une des pistes que l’on peut suivre lors d’un travail sur notre transgénérationnel.
Que ce soit par homonymie ou anagramme, il y a beaucoup de mots ou de phrases qui ont des doubles sens. Et vous pouvez faire confiance à votre cerveau pour entendre ce qu’inconsciemment le mal a dit (maladie).